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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 13:58

Avez-vous vu ce reportage sur cette société bretonne mise en liquidation, que les salariés viennent de racheter ? Et cela marche.

La SDAB est une société de mareyage implantée en Bretagne, prés de Morlaix, approvisionnant en poisson frais et crustacés  les plus grandes tables de France. 32 ans d’existence, une excellente réputation et plus de 17 millions de chiffre d’affaires. Mais en novembre dernier, l’affaire était mise en liquidation, mettant 70 salariés au chômage. Sous l’impulsion d’un salarié l’affaire redémarre une quinzaine de salariés reprennent les locaux et l’activité, cette fois sous forme de société coopérative de production. Le patron est élu par des salariés devenus actionnaires. L’ambiance a changé, les gens viennent au travail avec plaisir et l’envie de réussir.

Voilà un exemple concret de ce qu’il est possible de faire en France. Redonner du sens au travail. Se réapproprier le travail. Ne plus agir en fonction du métronome boursier. Ne plus se soumettre à la logique financière qui l’emporte sur la logique économique, la rente sur le profit. Bon courage les gars, de tout cœur avec vous.


BRAVO POUR LA CHUTE DU MUR DE BERLIN ! MAIS !



Vingt ans déjà que cela passe vite, c’était le 9 novembre 1989. L’Allemagne allait être réunifiée et par la suite l’Europe modifiée. Des pays allaient se libérer de la tutelle de l’Union Soviétique et revendiquer leur indépendance. Aujourd’hui le nouveau parti communiste obtient entre 24% et 32% des suffrages pour une raison simple et cet argument: « Nous détestions la dictature, mais nous avions notre gagne-pain assuré. Aujourd’hui nous nous enfonçons dans la pauvreté et l’incertitude. » En fait le mur de pierre était tombé, mais le mur symbolique de l’argent allait se substituer à lui générant d’autres problèmes, d’autres difficultés, tout aussi destructrices. En Ukraine par exemple le salaire est actuellement de 53 euros et devrait passer à 75 euros en 2011. Une infirmière gagne 70 euros par mois. Et pourtant c’est l’Europe maintenant. Que font l’Organisation mondiale du commerce (OCDE ) et le Fonds monétaire international ( FMI ) ? De l’avis de M. Pierre Concialdi économiste " Ces bailleurs de fonds ont exercé et continuent d’exercer sur les pays les plus pauvres des pressions qui se traduisent par l’application de plans d’ajustement structurel draconiens qui redonnent davantage de poids aux forces du marché dans la régulation économique et sociale, au détriment des contre-pouvoirs-parfois même assez maigres-qui existaient auparavant.

En d'autres termes , ces institutions internationnales, loin d'assurer une régulation supranationale, contribuent au renforcement des pouvoirs économiques dominants "

L’âge d’or du genre humain, qui prévoyait la perfection de l’ordre social, comme disait Saint-Simon, est-il devant nous ? En ce cas il faut changer la donne. Il faut changer d’attitude et de comportement. Nos dirigeants en sont-ils capables ? Eux, qui ne cessent de privilégier le capital par rapport au travail, qui restent le regard braqué sur le métronome de la Bourse. Eux qui n’ont à la bouche que les mots profit, rentabilité, compétitivité et qui traitent en sous-hommes ceux qui ne sont pas de leur classe. Je lisais la déclaration d’un grand dirigeant de Boeing en 1997 « En devenant plus efficace, nous devrions être en mesure de licencier des employés » Et ça pour rassurer Wall Street. C’est stupéfiant ? Non, c’est la logique capitaliste. Cette logique qu’il faut changer.


« Le capital mourrait si, tous les matins, on ne graissait pas les rouages de ses machines avec de l’huile d’homme » (Jules VALLES)

.



B.S




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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 20:58

Que reste-t-il de la Républiqe ? Dans un excellent article, Edwy Plenel parle de privatisation de la République. Que reste-t-il en effet du triptyque Liberté, Egalité, Fraternité ? Pas grand chose.Ces trois piliers sont ébranlés par celui là même qui devrait en être le protecteur. La  Liberté est outragée, l'Egalité n'existe pas, la Fraternité, celle des riches entre eux. La présidence de notre "Bien-aimé" se déroule dans le déshonneur et l'avilissement. Depuis longtemps il a choisi son camp. Le camp des nantis, celui des privilégiés. Après avoir manipulé l'opinion par un rappel des valeurs de gauche et, l'exemplarité de ses leaders, il se fait élire sous un slogan ambitieux la "rupture". Rien ne serait plus comme avant, avait-il promis ! La grande réconciliation nationale des Français entre eux allait se concrétiser. Seulement voilà, à peine élu, il cédait au charme de la bourgeoisie, à vrai dire, sans trop de résistance. Il fêtait la victoire avec une cohorte d'amis triés sur le volet, dans le gotha mondain. Fini la fracture sociale de son prédécesseur, bonjour la rupture. Tout allait être possible ici et maintenant; toujours ces références à la Gauche. Et effectivement tout fut possible :  Bouclier fiscal, récession, chômage, privatisations, délocalisations, travail  le dimanche, déficits et, les caisses vides. Rien ne sera épargné aux classes populaires en matière de pouvoir d'achat. Pas d'augmentation des  impôts, mais des taxes pour tous. . Pour mener à bien cette politique il bénéfice de tous les pouvoirs, sans contre-pouvoirs, lui permettant ainsi allègrement de transgresser les lois de la République. Un parlement à sa botte, une opposition anesthésiée, un cercle restreint de conseillers sorte de "camorra" dévouée jusqu'à l'extrême non pas au service de la démocratie, mais au service d'un homme qui " s'affranchi de tout, au-dessus des lois, prêt à tout."
Il travaille de façon fusionnelle avec son G2, Guéant Clude et Gaino Henri, deux inséparables. L'un secrétaire général de l'Elysée est l'homme à tout faire, éminence grise, missi-dominici - c'est lui qui a organisé en secret le mariage de notre "Bien-aimé" le 2 février 2008- c'est le Talleyrand du moment, ou le Foccart du Gaullisme. Il embauche et débauche les minitres il fait la pluie et le beau temps, cultive le secret, alterne coups fourrés et coups tordus avec l'absolution de Nicolas Ier - c'est ainsi par exemple qu'il félicita Ali Bongo fils d'Omar Bongo pour son élection avant l'annonce des résultats officiels-.
L'autre c'est le conseiller spécial de notre "Bien-aimé" le scribe, intellectuel de la droite nationale, auteur des discours, souvent en contradiction avec l'action, étonnants, désarmants. La plupart du temps c'est du verbiage, une prose indigeste sitôt acclamée par le choeur des esclaves dont le chef , M. Lefebvre, joue l'aboyeur dévoué. Dans sa fonction de chef de claque cet individu est parfait, parfois même il anticipe son enthousiasme au risque de déplaire à sa majesté. Un super cabinet composé de ses cerbères se réunit autour de lui en dehors du Premier ministre, pour prendre les décisions les plus importantes qui seront soumises au conseil des ministres.
En tant qu'ancien ministre de l'intérieur il a une parfaite connaissance des problèmes de sécurité et de renseignement. Ses déplacements se font sous haute surveillance et sous de critères qui déconcertent, comme la taille des participants où le choix des invités. A tel point que cela inquiète les préfets qui en ont ras la casquette.
Le 16 avril Nicolas Ier faisait prendre un décret validant l'accord passé avec le Vatican qui autorise les établissements catholique à délivrer licences et masters, passant outre à la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Pas de discussion au parlement. Abus de pouvoir.
Maintenant il s'en prend à la décentralisation. Vingt et une régions sous contlôle de la Gauche, cela lui est insupportable, alors il fera modifier les textes en faveur de la majorité: suppression de certains échelons adminitratifs et surtout élection à un tour, plus favorabe à la Droite. Même chose pour la modification de la carte électoral où il taille les circonscriptions en faveur de sa majorité. Par la suppression de la taxe professionnelle il cherche à asphixier l'économie des collectivités locales. { On se fout de nous a déclaré publiquement M. Alain Juppé }
Dans un discours aux lycéens, il prone le travail, l'effort, le mérite; mais pour ses proches, ce ne sont que passe-droits, favoritisme et piston ou droît d'aînesse.

" Que de ruses, que de violences, que de parjures l'usurpation nécessite ! Comme il faut er des principes qu'on se prépare à fouler aux pieds, prendre des engagements que l'on veut enfreindre, se jouer de la bonne foi des uns, profiter de la faiblesse es autres, éveiller l'avidité  là où elle sommeille, enhardir l'injustice là où elle se cache , la  dépravation là où elle est timide !"
(Description de B. Constant face au premier Empire)
Car aujourd'hui en France c'est aussi d'une véritable usurpation qu'il s'agit, d'une véritable mutation qui n'a rien à voir avec la République, rien à voir avec la Démocratie. Mais qui s'apparente au fascisme.




B.S
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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 11:52

.         " L'effort humain porte un bandage herniaire
            et les cicatrices des combats
            livrés par la classe ouvrière
            contre un monde absurde et sans lois "
(J. Prévert )




On en parle
, on en reparle et on en reparlera encore longtemps pour les nombreux dégâts collatéraux causés par cet évènement. Effondrement des bourses, défaillances des entreprises, croissance en berne, explosion du chômage, suicides, récession, précarité.

Les banques principales responsables se sont rappelées au bon soin de l’Etat qu’elles vouaient aux gémonies, pour implorer son aide. Et sous conditions minima, l’Etat est intervenu. Ce qui prouve comme l’écrivait l’économiste américain Galbraith « Que le rôle de l’Etat dans le système atteste la disparition de l’entreprise privée traditionnelle. » Et il est absurde de croire que la libre entreprise et le socialisme sont séparés par un fossé infranchissable. C’est un mythe qui tombera, malgré les efforts du capitalisme et du libéralisme pour y faire échec.

Nos tartuffes libéraux font tout faire pour nous dissuader d’y croire, mais ils vont avoir de plus en plus de mal à nous convaincre de leur bien fondé.

« La mondialisation, l’intensification de la concurrence sur tous les marchés de tous les pays servent à légitimer tout ce qu’on veut : la diminution des salaires réels, le démantèlement des protections sociales, l’explosion du chômage, la précarisation de tous les emplois, la détérioration des conditions de travail, etc. » pour en sortir « Il faudra avant tout une volonté politique des Etats comprendre et faire comprendre que le pouvoir « irrésistible des marchés » n’existe que par la soumission au pouvoir financier des gouvernements auxquels il sert d’alibi pour reprendre à leur compte « la guerre que le capitalisme a déclaré à la classe ouvrière » d’abord, à la société ensuite. » C’est le constat que faisait le philosophe A. Gorz en 1997 dans son livre « Misère du présent Richesse du possible » Tous les ingrédients de la crise sont là. Disparu en 2007 il n’a pas pu voir combien son analyse de la situation allait se révéler juste.


Maintenant on nous parle de « reprise ». Je crois qu’il faut l’entendre dans le sens de réparation, de raccommodage car le tissu industriel est tellement usé et abimé que cela m’étonnerait fort qu’il retrouve rapidement sa flamboyance.

Surtout que la leçon de la crise est loin d’avoir été tiré et qu’une rechute est toujours possible. Les banques Européennes ont encore du ménage à faire et la spéculation à de beaux jours devant elle.



Laurent Wauquiez, secrétaire d’Etat à l’Emploi déclare à RMC : « Aujourd’hui, vivre avec un seul Smic dans une famille, quand vous avez des enfants, c’est très, très, très dur » quelle perspicacité ce Monsieur, il lui a fallu attendre d’être ministre pour le découvrir. Les smicards eux s’en sont aperçus depuis longtemps. J’espère qu’il fera remonter l’information au plus haut niveau de l’Etat.

Ce n’est certainement pas l’avis du Ministre de Santé Mme Bachelot qui envisage le déremboursement d’un certains nombre de médicaments pour remédier au déficit de la Sécu. Mesure qui va encore pénaliser les smicards, et pour lesquels ça va être encore plus, plus, plus dur.




                          °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°


INFOS LOCALES.

 

Rien ne va plus dans la majorité pour les élections régionales dans l’Orne. C’est la bisbille entre « Le Nouveau Centre » et « l’UMP ». C’est le désamour, le je t’aime moi non plus, entre Alain Lambert, Nicole Adeline et Philippe Augier. A tel point qu’un journaliste de « Ouest-France » a cru bon de poser l’indiscrète et saugrenue question à Nicole Ameline : Quelle est votre position après le retrait d’Alain Lambert ? Fallait oser !!!


Un nouveau préfet est en fonction depuis le 4 septembre. Comme tout nouveau préfet il a tenu des propos dithyrambiques sur l’Orne. Ce qui est étonnant, c’est que deux jours après son arrivée, il était convoqué au ministère de l’intérieur pour s’expliquer sur les mauvais chiffres de la délinquance dans le département. C’était peut être à son prédécesseur de s’expliquer sur la question ; à moins que le ministre ne soit pas au courant de la nouvelle affectation du préfet. Tout est possible !!!






B.S.

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10 septembre 2009 4 10 /09 /septembre /2009 21:31

      


            Cette affaire de la visite présidentielle dans l’Orne chez « Faurecia » ne grandit pas notre « Bien-aimé ». C’est minable, mesquin, grotesque, petit et digne d’un régime totalitaire. Ce n’est hélas pas la première fois. Toutes ces manipulations à la Ceausescu ne sont ni plus ni moins que des atteintes à la démocratie. Ses ministres aussi se prennent au jeu, tel M. Chatel qui nous vante la baisse des fournitures scolaires avec des consommateurs anonymes ravis qui sont en réalité des militants U.M.P. Et demain pourquoi pas de vrais faux étudiants pour vanter les mérites de la réforme universitaire, ou de vrais faux médecins pour nous inciter à la vaccination, ou de vrais faux facteurs porteurs de bonnes nouvelles sur l’emploi, la santé, le logement.

Notre « Bien-aimé » est un grand manipulateur. A l’opposé de Socrate qui disait « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. » lui, sait tout sur tout et n’admet pas la différence. Cette semaine, il est enfin ravi ; un sondage le place devant son premier ministre. Enfin !

Le risque dans tout ça, c’est l’avancée rampante, insidieuse vers l’autocratie. La mise au pas de la justice. La mobilisation des préfets et des forces de police pour le maintien de l’ORDRE, la condamnation de syndicalistes ou d’opposants pour des faits mineurs, l’intimidation de salariés dans certaines entreprises pour les empêcher de se syndiquer (Affaire Auchan ) la pression exercée sur les employés à France Telecom, victime du stress au travail. Séduction, culpabilisation, répression, chantage voilà à quoi sont soumis les soutiers de l’économie. Tout est entrepris pour que les opposants au régime ferment leur « gueule » ; et, sans vergogne, M. Darcos ministre du travail, plaide pour un syndicalisme puissant. La courbe du chômage va s’infléchir dans les mois à venir nous dit-on c’est sûr quand il n’y aura plus personne à licencier le chômage s’arrêtera de grimper. M. Balkany député UMP et ami du Président ose déclarer sur une chaine de télé américaine avec son arrogance habituelle « qu’en France il n’y a pas de pauvres, ceux qu’on appelle pauvres sont des marginaux de la société !!! »


Un homme a osé. M. Yazid Sabeg, commissaire à l’égalité et à la diversité des chances déclare à propos du port de la burka : « La crise s’aggrave dans les quartiers, il n’y a plus de travail, plus de logement, le système éducatif ne remplit plus son rôle….occupons-nous de ces vrais sujets. » Voilà la vraie situation mais officiellement c’est faux. Et puis c’est un maghrébin qui le dit, n’est-ce pas M. Hortefeux ? Il a certainement dérapé.!!!

Faut avouer que dans la forme les choses ont profondément changé. Avant dans les « boites » on avait affaire au « chef du personnel » maintenant c’est le « Responsable des ressources humaines » qui remplit cette fonction, c’est lui qui vous annonce non pas votre « licenciement » mais le « plan social » qui vous concerne.

De même qu’on ne dit pas « salaire » mais « coût du travail ».

On ne dit pas « rotation du personnel » mais « turnover »

Soyez fiers dans votre vie professionnelle de ces nouveaux mots ! Je pense qu’ils ont vraiment changé votre vie et combien ils sont importants, pour atténuer les maux d’une société profondément inégalitaire et si peut fraternelle.


Notre « bien-aimé » s’en moque il est au-dessus des partis, commence à faire führer et dans toute assemblée ne veut voir qu’une tête. La sienne !!!






B.S.
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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 13:49

Et tous ces ministres engoncés dans leurs certitudes ; les Chatel, les Wauquiez, les Alliot-Marie etc. …qui nous serinent à longueur de journée bobards, et contre-vérités


Luc Chatel, ministre en charge de l’éducation et porte-parole du gouvernement l’a dit : « Si nous sommes amenés à fermer des écoles, nous n’avons pas prévu des moyens de garde de substitution, nous ferons appel à la solidarité familiale, comme lors d’une épidémie de grippe classique. » Autrement dit démerdez-vous. Belle pagaille en perspective ! J’imagine qu’il a tout prévu en bon père de famille pour ses enfants. Sa visite soit disant inopinée organisée dans une grande surface avec des consommateurs anonymes, alors qu’il s’agissait de militantes U.M.P, pour nous vanter la baisse des prix. Minable ! Quel exemple pour la jeunesse en tant que ministre de l’éducation.

De toute façon il n’y a rien pas grand-chose à attendre d’un tel ministre au passé fulgurant. Descendant de maîtres de forge, éduqué chez les jésuites, l’école républicaine connaît pas, admirateur des grands chefs d’entreprises et pour terminer fils d’amiral. Pour avoir effectué son service militaire comme officier de marine à Brest, il se permet de narguer les Bretons « Désolé, Messieurs les Bretons, mais vous n’avez pas le monopole de la mer » ( Ouest france du 31/08 ) c’est beaucoup d’arrogance. Sans oublier son passé professionnel, formé chez l’Oréal la prestigieuse maison de cosmétique ; j’espère qu’il n’est pas marqué par le passé de cette entreprise dont la face cachée est une des plus noire de l’occupation et de la collaboration.


Quant à M. Wauquiez secrétaire d’Etat à l’emploi, il regrette que des salariés licenciés se mobilisent pour toucher un chèque plutôt que de s’inscrire dans une structure de reclassement. Il devrait savoir, mais non il ne l’a jamais vécu, que la plupart de ces structures sont inefficaces, et le salarié préfère tenir que courir. Après le CDD, le CDI, M. Laurent Wauquiez propose le CTP (Contrat de Transition Professionnelle)


Mm. Alliot-Marie et ces mesures dérisoires pour lutter contre les suicides en prison. Ridicule !


Arrêtez bande de thuriféraires de flagorner sans arrêt à propos de tout et de rien. De parler à tort et à travers et de vous contredire.

« Qu’est-ce qu’une parole pour des gens qui passent leurs jours à faire des paroles ? Une chose dont on abuse à ce point perd toute sa valeur…..Nous sommes habitués à la vanité des paroles, qu’une chose dite n’est plus sacrée. La parole n’est plus respectée comme une partie de nous-mêmes. Qu’une parole soit un acte, et qu’après l’avoir dite on en soit l’esclave : voilà ce qui passe de plus en plus de mode, et cet état de choses est une source de faiblesse. » (C. Wagner)


La réalité c’est que tous ces moulins à parole ne sont que des clones de notre « Bien-aimé » Président. Le roi du baratin, le bonimenteur de foire, le charlatan, le cabotin, c’est lui : « La France dont je rêve est une France qui ne laissera tomber personne, une France qui est comme une famille où le plus faible, le plus misérable, le plus fragile a droit à autant d’amour, autant de respect, autant d’attention que le plus fort ». Ainsi s’exprimait notre « Bien-aimé » le soir du premier tour de l’élection présidentielle. Qu’en est-il aujourd’hui ? Le compte n’y est vraiment pas. Des français font des cauchemars. Les riches sont plus riches, les pauvres sont plus pauvres. En 2007 c’est 7 milliards d’euros de baisse d’impôts pour les riches. Les pauvres attendront la prochaine distribution !!! De toute façon ils ne paient pas d’impôts alors de quoi se plaignent-ils ?

Les paradis fiscaux attention, on va sévir avertit le gouvernement, on a des noms, on connaît les tricheurs ! Déclare M. Eric Woerth, la bouche en cul de poule à la télé, autre hâbleur, ministre du budget. Paroles, paroles !!! C’est le même Woerth qui déclarait à propos de Johnny Hallyday , domicilié en Suisse pour échapper au fisc, « C’est pas un exilé fiscal qui va chanter, c’est un chanteur populaire qui va chanter aujourd’hui , il paye ses impôts en Suisse de façon légale. » ( Marianne du 4 au 10 juillet )

Et pour s’attaquer aux niches fiscales en France qui coûtent au budget près de 70 milliards d’euros il est urgent d’attendre dit le gouvernement.


Aujourd’hui des syndicalistes viennent d’être condamnés pour des dégâts commis sur un coup de colère dans une Sous-préfecture, en protestation à des licenciements. Le mobilier national compte plus que la vie d’un salarié !!! Tout ça en contradiction avec les belles paroles du discours présidentiel.

Je rêve !!!



B.S.

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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 20:25

 

Pendant des mois des éditorialistes en tout genre ont pronostiqué la fin programmée du P.S. C’en était bientôt fini. On parlait déjà de lui au passé. Certains socialistes y avaient largement contribué, ceux que j’appelle « les gourmands », ceux qui prolifèrent sur la souche mère ne produisent pas de fruits sauf ceux de la discorde. Ils étaient nombreux les Mélanchon, Valls, Montebourg et compagnie certains d’entre eux allaient même jusqu’à préconiser l’abandon du sigle, P.S. alors que plus que jamais le socialisme est d’actualité et comme le disait Mitterrand, « l’idée la plus neuve du monde. »


Martine Aubry dans un article du « Monde » du vendredi 28 août déclarait « vouloir conduire une offensive de civilisation. »

Elle écrivait « Ceux qui s’interrogent sur l’avenir du Parti socialiste devraient consacrer un temps au moins égal à dénoncer l’impasse du néolibéralisme, ses manquements et ses absurdités accumulées au cours des dernières décennies. Ce n’est pas un simple bug, c’est une société en panne de valeurs, de cohérence et de promesses. Cette société incontrôlable fait peur. »


« Dans la vie politique disait F. Mitterrand, il faut être offensif. Si on se défend on a déjà perdu. »

A l’université d’été du P.S. à la Rochelle Martine Aubry a conquis son auditoire par le parler vrai et un discours offensif qui redonne l’espoir aux militants. Les militants qui en avaient assez de ces querelles internes, de ses rivalités, de ses écuries, de ses clans.

Certes, il restera encore quelques grincheux pour semer la zizanie, quelques « Jean-foutre » pour s’opposer, nuire, se mettre en valeur, et jouer de leur ego. Espérons qu’ils rentrent vite dans les rangs et acceptent en socialistes loyaux le choix de la majorité et la discipline du Parti. Pour Michel Rocard à 79 ans c’est trop tard. Notre « Bien-aimé » Président l’a pris dans ses filets ; et il a fait allégeance. « Si(re)je peux être utile à mon pays ? » Non sans avoir évoqué auparavant une phrase de Marx au sujet de la crise économique « Marx jugeait le capitalisme comme un système instable et cruel, soumis a deux pulsions dangereuses : l’expansion géographique et la domination de la finance. On y est. » Ambigüité du personnage, habile tacticien et parfait médiocrate.

 

A la Rochelle le P.S. a trouvé ses marques, a adopté une stratégie, défini un programme. Il était temps.

Espérons que la gauche, dans sa diversité réussisse à faire partager avec les Français l’espérance.




B.S.
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13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 22:42

Demain sera pire qu'aujourd'hui ! A moins d'une prise de conscience des Français, d'un raz le bol général, d'un coup de pied dans la fourmilière du mensonge et de l'hypocrisie, d'un appel à la désobéissance civile.
Une étincelle peut engendrer une réaction inopinée!
A moins que l'apathie démocratique l'emporte, que l'égoïsme triomphe, que le chacun pour soi s'installe, que la démission s'incruste, alors oui ce sera encore pire.
Des professeurs stagiaires sanctionnés pour leurs critiques du système ! Un lycéen « bloqueur » sanctionné pour son action ! Des salariées licenciées pour avoir refusé de travailler le dimanche ! Le chômage de longue durée qui augmente ! Les inégalités sociales qui s'aggravent ! Le droit à la retraite à 60 ans remis en cause tout comme les 35 heures ! Bientôt la retraite par capitalisation !.
Pendant ce temps les transferts de joueur de football se négocient en millions d'euros (93 millions pour Ronaldo, salaire 13 millions d'euros par an).
Ne croyez-vous pas que cela mériterait une « Nuit du 4 août » ?


Encore faudrait-il que face à ce pouvoir corrupteur et corrompu l'opposition face preuve de rigueur et d'unité. Hors la Gauche se cherche un leader, telle une hydre de Lerne dont chacune des sept têtes repoussait après avoir été tranchée. Chacun des Partis de Gauche revendique le leadership. En attendant le peuple souffre, et, exaspéré, indifférent à cette lutte des places, se lance dans des opérations extrêmes, séquestrations de dirigeants d'entreprise ou sabotage de sites industriels.


Le comble, diversion oblige, on va se chicaner à gauche aux Francofolies de La Rochelle sur l'interdiction d'un chanteur, faisant aboyer, Luc Chatel ministre de l'éducation et porte parole du gouvernement, sur l'atteinte à la liberté d'expression ! ! ! La Droite ne manque pas d'air ! ! !
C'est surement ça la « Droite décomplexée »




Hier, à Aquila Berlusconi grand organisateur a réuni le G8, puis le G20. Après le G2, le G3 et le G5 on parle maintenant d'un G14. Combien de G encore ?
En attendant Berlusconi empêtré dans des affaires sentimentales de cœur ou de cul n'ambitionne qu'une chose, la recherche du point G. Pour le reste on verra.
Mme « de Maintenant » dernière épouse de notre « Bien-aimé » a snobé la réunion des dames des chefs d'Etat en la jouant perso. Les feux des projecteurs pour elle seule, caprice de star. Cela lui rappelle le bon vieux temps où elle posait nue ! Notre « Bien-aimé » aussi a ce côté frimeur, toujours tourné vers une caméra, toujours à l'affut d'une interview. C'est dans leur nature, ils ne savent pas jouer collectif.
A Aquila les habitants sinistrés continueront leur « week-end » de camping, comme dit Silvio, dans des conditions extrêmes et sûrement pour longtemps. La France va investir dans la restauration d'une église, pour les rescapés du sinistre c'est rassurant !!! Ce geste va beaucoup les aider.



Gérard Longuet élu président UMP du Sénat. A l'UMP on recycle les chevaux de retour : Gérard Longuet, Alain Madelin et Patrick Devidjian. Tous trois issus de la mouvance d'extrême droite Occident, anticommunistes, antigaullistes, Algérie française.
Patrick Devedjian : « J'étais anticommuniste et, finalement, je n'ai pas changé. »
Gérard Longuet :
« J'étais Algérie française et anticommuniste.....J'ai fait la campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1965. On se spécialisait dans la relation conflictuelle et musclée avec l'extrême gauche. »
Alain Madelin :
« J'étais animé par un anticommunisme militant, extrême et passionné. »

Finalement Longuet  qui déclarait dans le point 11/02/80 « j'ai fait beaucoup de conneries » s'en est pas mal tiré. Passant de l'extrême droite au giscardisme puis au chiraquisme pour finir au Sarquozisme sans être passé par la case gaulliste,  a réussi son coup.

La marque UMP, comme dirait notre « Bien-aimé » Président ; est un bon produit qui recycle tous les ambitieux sans moralité, quelque soit leur bord.







B.S. 

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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 21:44

 

 Notre " Bien-aimé " Président est vraiment machiavélique. Il a réuni un congrés exceptionnel pour s'écouter parler et s' affirmer auprès des Français comme le chef suprême.

C'était le sacre, son sacre. Il n'oublie qu'une chose, c'est que l'histoire n'est qu'une galerie de tableaux où il y a peu d'originaux et beaucoup de copies.( Tocqueville ) Il n'est malheureusement qu'une pâle copie.

Cela fait deux ans que notre " Bien-aimé " est au pouvoir avec tous les pouvoirs, Assemblée nationale et Sénat, l'opposition est baillonnée, les syndicats muselés, l'UMP caporalisée, les ministres nommés et renvoyés selon son bon plaisir. Seuls des conseillers non élus, personnages ambigus, ont sa confiance.
Au bout de deux ans  de pleins pouvoirs et six mois de crise, il n'est pas en mesure de déterminer les orientations de sa politique écomique et sociale ? Ni de définir les priorités du grand emprunt, dont il n'a fixé ni le montant, ni le taux, qu'il lance comme une fusée de détresse ? Et qu'une majorité de Français désapprouve.
Nous sommes les seuls en Europe à recourir à l'emprunt, ainsi en a décidé notre " Bien-aimé " quitte à creuser un peu plus le déficit de l'Etat.

Alors, ignorant une fois de plus le parlement, il se défausse sur deux anciens premiers ministres deux séniors 64 et 79 ans; remarquez comme dirait ma grand-mère: " C'est dans les vieux pots qu'on fait la bonne soupe " flattant leur égo, l'un de droite qui n'est plus député, l'autre de gauche toujours aussi dépité; leur demandant d'étudier les priorités. Il nous a déjà fait le coup ave le fumeux rapport Attali qui avait soulevé un tollé et fera pareil avec ces deux là disant de Juppé :" Il fallait bien le caser quelque part, il ne faut jamais avoir d'ennemi à droite.Ca va lui faire une bell retraite..... "


Pendant ce temps, le Premier sinistre et son conseil discutent à la chambre de l'opportunité du travail du dimanche qui est aussi une priorité de " Bien-aimé ".  Vous trouverez l'argument mesquin; pour forcer la main des députés notre " Bien-aimé " déclara " Est-ce qu'il est normal que le dimanche quand  Mme Obama veut aves ses filles visiter les magasins parisiens, je dois passer un coup de fil pour les faire ouvrir "  Ce qui est complètement faux, mais plus le mensonge est gros mieux il passe. C'est l'art de gouverner.

Pour terminer, je vous livre cette déclaration de M; Cristophe de Margerie, PDG de Total, un pote de notre " Bien-aimé "

" En France, on va avoir moins d'emplois. On ne va pas garder les gens indéfiniment quand même "
( l'Humanité, 6/07/2009 )




B. S
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 09:37

Notre « Bien-aimé » est vraiment imprévisible. Il nous prêche à longueur de temps la modernité, la réforme, la rupture et c'est de Versailles qu'il s'adresse au pays.
Il lui aurait été facile de mobiliser les trois chaines de télévision pour faire sa déclaration c'eût été moins onéreux pour le contribuable et tout aussi efficace. Mais non il lui fallait Versailles pour la splendeur ; car il aime le faste, le clinquant. Ah ! Versailles il en rêvait ! Pour sa narcissique personne c'était le pied, mieux la gloire.

Au milieu des dorures des boiseries, de la magnificence des lieux, bon cela fait un peu suranné, vieux ; mais en temps de crise ne fait-on pas du neuf avec du vieux ? Et puis ce décorum, ce faste c'est tout un symbole et les symboles il y tient beaucoup notre « Bien-aimé ». Devant cet aréopage de membres des deux assemblées 920 parlementaires, la Bourgeoisie libérale UMP, NC était venue en force, au Tiers Etat c'était plus contrasté certains s'étaient mis au vert,
il devait prononcer le discours du siècle.

Sous le roulement des tambours de la garde républicaine il fit une entrée impériale sous le regard attentif du comte Accoyer président de séance. Dans les tribunes Mme De Maintenant tout sourire épouse de notre « Bien-aimé » rêvait du kamasoutra qui l'attendait ce soir pour fêter cet évènement historique. A ses côtés l'intendant Henri Guaino plumitif agréé, écoutait son texte clamé par son meilleur interprète.

Notre « Bien-aimé » se prêtait de bonne grâce à cet exercice, il était ravi. Il se prenait tout à coup pour la reine d'Angleterre.
Quarante cinq minutes lui ont suffi pour conquérir le cœur des versaillais, ces ennemis du peuple qui aboyaient en chiens bien dressés, et, une facture de 400.000 euros à la charge du contribuable, pour s'entendre confirmer la crise et l'appel à l'emprunt pour financer l'avenir. Un discours dégoulinant de suffisance, paternaliste, ubuesque et creux comme un radis, dédié aux siens. Le Tiers Etat restait sur sa faim.

Il puisait dans les vieilles recettes, après l'emprunt Pinay, Giscard, Balladur voici l'emprunt à son nom, façon habile d'entrer dans la postérité.


Je m'étonne qu'un timbre à son effigie ne soit pas édité pour la circonstance, ce qui permettrait aux inconditionnels de notre « Bien-aimé » de lui lécher le cul.




B.S.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 14:06

 


Notre « Bien-aimé » Président est un bonimenteur extraordinaire. A la foire du trône il aurait été dans ce domaine champion toutes catégories. C'est compulsif chez lui il faut qu'il parle, qu'il parle et malheureusement pour dire le contraire de se qu'il pense, et de se qu'il fait. Son discours pour le 90 e anniversaire de l'Organisation internationale du travail (OIT) en est un exemple frappant. Il y à dénoncé « La marchandisation du monde ». « Face à un capitalisme financier devenu fou à force de n'être soumis à aucune règle et dont on commence à mesurer à quel point il peut être destructeur, a-t-il lancé devant les représentants de 183 pays membres de l'OIT, est-il bien raisonnable d'attendre encore ? » Il a dénoncé « l'obsession » de la rentabilité à court terme des marchés financiers, notre « Bien-aimé » à fustigé une mondialisation qui « à mis le droit du commerce au-dessus de tout ». La santé, l'éducation, la culture, la biodiversité, le climat, le travail ne sont pas des marchandises comme les autres » a-t-il souligné. Il avait revêtu pour la circonstance l'habit d'un Jaurès ou d'un Blum, évidemment il savait où il était en prônant ce langage flatteur.
Et que fait-il en son royaume de France notre « Bien-aimé » ? Tout le contraire de se qu'il dit en public. Il privatise à tour de bras : la santé, l'éducation, l'information, la culture au non de la rentabilité et du profit. Il dérèglemente le droit du travail.

A Bruxelles il défendra le rapport De Larosière qui ne prône même pas de supervision fédérale des banques, assurances et marchés européens.
Sous sa présidence européenne, il a soutenu avec les eurodéputés UMP la possibilité pour le Royaume-Uni d'échapper à la limitation du temps de travail hebdomadaire en Europe.


Michelin envisage de supprimer 1500 emplois en France ! Ses dirigeants annoncent l'ouverture d'une usine en Inde (1 milliards d'euros sur dix ans).
Là-bas c'est tout bénef pour Michelin, pas de contraintes sociales et les ouvriers sont payés avec de la roupie de sansonnet.

Le travail dit notre « Bien-aimé » n'est pas une marchandise comme les autres, mais doit obeïr à la loi du marché! ! !


Voici comment les journaux Anglais se moquent de notre " Bien-aimé "


En France le problème du lait, c'est de mal en pis. Les solutions préconisées sont un " pis à lait ".


Toujours en France, contrairement aux experts officiels qui préconisent une stagnation du Smic, sachant qu'ils n'y sont pas eux assujettis, d'autres experts aussi compétents comme Mathieu Pigase, vice-président de la banque Lazard, et Gilles Fincheltein, DG de la fondation Jean-Jaurès plaident dans un livre « Une crise sans précédent » (Plon) pour une augmentation des salaires à défaut de courir le risque d'une dislocation sociale.



Papa Diouf dont toutes les gazettes et les reportages télé vantaient il y a quelques semaines la compétence et les mérites est mis sur la touche. On va renouer avec d'anciennes habitudes, un peu nauséabondes. C'est dans l'air du temps. Il ne s'est pas méfié Diouf. Eloge signifie : Discours en l'honneur d'un mort ! C'est foot !




En Afrique
au Gabon, on célèbre les funérailles d'Omar Bongo vétéran des chefs d'Etat africains, en place depuis 1967. Grand « Tamis » de la France qui le choya tant et qu'il servit si bien en triant parmi ses allies du moment. Tour à tour gaulliste, pompidolien, giscardien, mitterrandiste, chiraquien, et sarkozyste. Il fut l'homme clef de la Françafrique, un système retors qui a conduit un pays riche à être classé au 124e rang sur 177 pour le développement humain.



En Italie
Berlusconi, ce Mussolini des temps modernes, continu de faire ses frasques en se moquant de l'opinion publique. Les catholiques italiens ne semblent pas lui en tenir rigueur du moment qu'il est des leurs. Pourtant son programme politico-érotico-économique aurait de quoi choquer les plus puritains : « Hausse de la chemise, baisse du pantalon et va et vient dans la fourrure », comme disait Coluche.  C'est un programme alléchant !!! mais osé pour un premier ministre.




B.S.




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