Le blog de Jean Claude Marty

La réunion du Conseil des ministres va finir par ressembler à une Cour de justice:  Le Président de la République : Avocat

              François Baroin ministre du budget : Avocat

              Christine Lagarde ministre de l’économie et des finances : Avocate(à la tête du cabinet Baker & McKenzie aux Etats-Unis)

              Jean-Louis Borloo, ministre de l’Environnement : Avocat.

              Patrick Devedjan ministre chargé du plan de relance : Avocat .

Tous des gens bien fortunés, qui plaident bien leur cause, qui vivent dans leur bulle, suspendus au mouvement de la bourse et qui n'en ont rien à faire du quotidien des français.  Ils raisonnent statistiques, indices, conjoncture. Ils vivent dans un monde virtuel. La seule réalité à laquelle ils ne peuvent échapper et qui les rend égaux au commun des mortels, c'est lorsqu'il vont aux toilettes,et qu' ils se torchent le cul comme le clochard du coin, petite différence cependant, alors que le clochard utilise les pages du "Figaro" eux emploient du papier toilette de qualité. Imaginez Mme Lagarde dans cette position, et vous serez décompléxé !!! 

Et dire que tout ce qu'il nous propose c'est leur merde.

Le gouvernement Fillon remanié en mars 2010 en compte 14 sur 40 ministres et pour la plupart avocats d’affaires les bonnes comme les sales. Ainsi «J-L Borloo l’un des meilleurs spécialiste du droit des sociétés qui a mis au point la nouvelle méthode de reprise des entreprises en difficulté que pratiquera entre autres Bernard Tapie ». Et ce monde la n’est même pas solidaire : Interrogé sur le cas du président du groupe parlementaire UMP Jean-François Copé, lui aussi avocat d’affaires pour arrondir ses fins de mois ! M. Devedjan lance une vacherie à un journaliste :( Canard enchaîné du 27/10) « On ne peut pas prendre Copé à chaque fois comme exemple. Prenons plutôt le mien : j’ai exercé le métier d’avocat en même temps que mon mandat parlementaire, il est arrivé que certains clients me proposent des honoraires importants pour défendre des dossiers fiscaux où tout le travail avait déjà été fait. Visiblement, on attendait de moi des interventions plus que de l’expertise. J’ai refusé ces dossiers. » Elle n’est pas belle cette plaidoirie ? C’est le tribunal des flagrants délires : copinages, confidences, complicités entre copains et coquins dans cette immense toile d’araignée oligarchique. Ô ! Ministres intègres.

Et voici maintenant que Sarko place les intimes  de Carla, en effet Arno Klarsfeld avocat, encore un, est nommé conseiller d’Etat. Il n’est ni jaloux, ni rancunier Sarko.

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Le mot « CON »fait des émules. En effet Monsieur Morin ministre de la défense, à propos de l’hostilité de l’opinion publique à la présence française en Afghanistan a eu cette explication qui aura certainement convaincu le Président : « Parce que c’est difficile d’expliquer à des cons !...euh, à des hommes et des femmes, qu’une partie de leur sécurité se joue à 7 000 km de chez eux » Et quand les cons voleront M. Morin sera Président de la République.

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   Quand je vous disais que sous la casquette des préfets il n’y avait plus d’honneur, c’est confirmé par la déclaration du sous-préfet de Brestdéclarant, en rigolant, lors de la manif sur les retraites (Ouest-France 20/10) « des coups de matraque ont touché les opposants ». Mais « dans les règles de l’art, sans violence ». Chacun appréciera.

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On n'a pas beaucoup vu les jeunes de l'UMP pendant cette période de contestation et pour cause, d'aprés M. Benjamin Lancar leur secrétaire général, ils avaient pris le maquis comme Guy Moquet dans les années 40 pour défendre le projet du gouvernemement. Hallucinant ! Graine de collabos !

  B.S.                                                                                                                                     

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Un article du « Figaro » relayé par 2ème chaine de télé, nous parle de l’incivisme des Français, et dresse un constat alarmant. Pour 65 % des Français l’incivisme a progressé en dix ans.

Nous sommes dans une société hyper médiatisée. L’information circule à la vitesse grand V. Tout finit par se savoir, le vrai comme le faux ; la rumeur fait d’incroyables ravages. Le porte-parole de l’UMP Mr. Lefebvre conseillait même la dénonciation. C’est dire si l’on est dans une société tourmentée.

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Cette médiatisation de la société a son corollaire qui est l’information, la perception, la réalité de l’évènement auquel les citoyens sont sensibles. A l’écoute de ces informations le malaise, grandit, la méfiance s’instaure, le doute plane, la confiance se délite.

Comment expliquer demande le Figaro cette dégradation du lien social ? « Sans doute parce-que l’entorse à la règle apparaît de nos jours comme une manière d’exister et d’affirmer son identité, alors que le civisme n’est ni récompensé, ni valorisé », avance Philippe Moinet directeur de la Revue civique.

Moi j’avancerais une toute autre explication :

« L’art de former les hommes est en tout pays étroitement lié à la forme de gouvernement » dit Helvétius (1715-1771). Donc l’affaire est politique. Je trouve aussi chez Helvétius cet autre explication : « Deux choses comme le dit Pythagore rendent les hommes semblables aux dieux, faire le bien public et dire la vérité. » Et l’on en est très loin surtout pour ce qui touche la vérité.

L’exemplarité ce lien auquel chacun devrait pouvoir se rattacher a disparu de la sphère publique, comme privée. Et au plus haut niveau de l’Etat.

Et ce n’est pas la peine de programmer une enquête d’opinion pour voir ce qu’il en est.

La politique concerne la cité c'est-à-dire l’ensemble des citoyens vivant sous les mêmes lois. Hors il semble que ce soit pour la majorité au pouvoir un moyen susceptible de parvenir à des fins pas toujours louables.

Incivilité, le coup de boule de Zidane, incivilité la main de Thierry Henri, (reçu en héros par le Président Sarkozy) et puis la cerise sur le gâteau le « casse-toi pauvre con !» de notre cher Président au salon de l’agriculture, incivilité majeure, que le Figaro n’a pas dénoncé. Autre incivilité du Président en mars 2008 sa prestation hallucinante au plateau des Glières où dans l’enceinte du cimetière, il se met à blaguer, rigoler, à plaisanter. Ainsi vit et se propage l’incivilité. Incivilité encore du Président quand il évoque de faire pendre à un croc de boucher un ancien Premier ministre, ( faut que sa saigne ! faut que ça saigne ! ) dans l’affaire Clearstream, incivilité de plusieurs ministres qui abusent de leurs prérogatives, (cigares pour l’un, déplacements onéreux et injustifié pour l’autre, logements de fonctions détournés par certains ect, ect.) Plus grave, un ministre du budget, trésorier de l’UMP, impliqué dans un imbroglio politico financier et toujours en place. Elle n’est pas belle notre démocratie, elle rayonne de passe-droits, de trafics d’influences, de décorations frauduleusement acquises, de corruption.

Les répercutions de toutes ces incivilités gouvernementales, dans la société donnent envie de vomir. Comment les citoyens peuvent-ils respecter des formes normales de vie collective au moment où ça dérape et ça triche, où ça ment tout azimuts au sommet de l’Etat.

Alors Messieurs du Figaro au lieu de culpabiliser les citoyens, remettez en cause l’Etat dans son attitude, ses pratiques et sa gouvernance, au lieu de le défendre de le soutenir, de l’encenser dans ses dérives.

« Nous voulons que l’idéal séculaire français de liberté, d’égalité, de fraternité soit désormais mis en pratique chez nous de telle sorte que chacun soit libre de sa pensée, de ses croyances, de ses actions, que chacun ait, au départ de son activité sociale, des chances égales à celles de tous les autres, que chacun soit respecté par tous et aidé s’il en a besoin. » Déclaration publiée en France dans les journaux clandestins le 23 juin 1942 par le Général De Gaulle.

En rappelant ces principes aux grands dignitaires du régime, à commencer par le Président de la République, vous seriez plus crédible et votre contribution à lutter contre l’incivisme aurait alors un sens. Allez un peu de courage !

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 B.S.                                                                                        

Le ministre Bernard Kouchner finira comme Talleyrand, ministre des Affaires étrangères de Napoléon, auquel ce dernier avait dit: "Vous êtes Monsieur de la merde dans un bas de soie".

Il a perdu tout crédit dans cette aventure avec Sarkozy qui l'a utilisé à ses fins sans jamais le reconnaître comme l'un des siens. Comme un artiste sur le déclin il va rater sa sortie, mais Il n'en est pas persuadé et.....

 ce Grand Homme.........................  Chez un tailleur de pierre

                                                                  où je l'ai rencontré il faisait 

                                                                  prendre ses mesures

                                                                  pour la postérité.

                                                                                                   (J.Prévert )

" Malgré la prière qu'il vient de faire avec le cardinal Tauran, qui appelle à mieux accuellir les immigrés, Nicolas Sarkozy confirme qu'il ne change pas de ligne.....Cette visite est un " attrape-couillon " "  ( Déclaration du père Michel Lahet, directeur du pèlerinage des Gitans à Lourdes )

Les couillons comptez-vous !

B.S. 

On en use ainsi chez les grands:

                                                     La raison les offense; ils se mettent en tête

                                                     Que tout est né pour eux, quadrupèdes et gens,

                                                                        Et serpents.

                                                     Si quelqu'un desserre les dents,

                                                     C'est un sot. J'en convuens; mais que faut-il donc faire?

                                                     Parler de loin, ou bien se taire.

                                                                ( La Fontaine )

Lamentable et pathétique cette déclaration de notre « Bien-aimé » Président sur la 2, à la suite de sa visite dans un hôpital, visant à culpabiliser les Français qui préfèrent, dit-il, les ragots aux problèmes sociaux comme ceux de l’hôpital ou ceux de la retraite. Mais, « Bien-aimé » les Français s’intéressent aussi à cela, ils étaient deux millions à défiler dans les rues pendant que vous, dédaigneux, les méprisant vous receviez Thierry Henri à L’Elysée.

Madame de Bettencourt. Ses excentricités, ses caprices, l’ont mis au devant de la scène, ces histoires d’argent, de cadeaux, de liaisons, de bonnes relations ou de mauvaises fréquentations, d’anicroches avec sa propre fille qui envisageait une mise sous tutelle, viennent tout à coup ternir le charme discret de la bourgeoise fortunée.

Comme un pavé jeté dans la marre éclabousse les courtisans, l’affaire mouille beaucoup de monde et en particulier les hommes politiques de la majorité qui sont pris les mains dans le pot de confiture, et qui font les étonnés. Ils ne s’attendaient pas à ce déballage. Jusqu’à présent tout se passait tellement bien et dans la plus extrême discrétion.

La racaille n’est plus dans les banlieues, elle est dans les beaux quartiers, faudra-t-il là aussi employer le karcher ?

Son immense fortune attirait de nombreux, favoris, une foule d’amis et aussi quelques courtiers et mandataires dans le domaine politique de droite qu’elle subventionnait à l’occasion. Parce qu’elle était naturellement de droite. Et pour la droite l’argent est l’adjuvant indispensable dans une campagne présidentielle, les idées viennent après.

On peut dire que sans « l’histoire » Bettencourt il n’y aurait pas d’affaire Woerth et tout ce qui s’enclenche autour. Parce que depuis le début l’affaire était bien ficelée et pensait-on allait pouvoir servir pour 2012; pas de pot pour les protagonistes la ficelle a craqué libérant le paquet et son contenu nauséabond que tous les cosmétiques de l’Oréal n’arriveront pas à dissiper. On peut dire que Woerth et Sarkozy sont les victimes collatérales de l’affaire Bettencourt.

Maintenant, tout le monde s’indigne ou s’insurge.

L’ex-ministre du budget, trésorier de l’UMP, dit ne pas connaître Liliane Bettencourt, il ne savait probablement pas qu’elle était la femme la plus riche de France. Il ne savait pas non plus que sa femme travaillait chez Liliane, la preuve, dés qu’il l’a appris il lui a demandé de démissionner ! ! !

L’argent est le nerf du pouvoir et notre « Bien-aimé » le sait. Voici ce que nous raconte l’hebdo « Le Point » dans un article intitulé:

« Qui veut donner des millions ? »

« Novembre 2004 : il est élu à la présidence de l’UMP, en remplacement d’Alain Juppé. Sans prendre de gants, il se débarrasse des juppéistes restants et place ses hommes. Il en est un en revanche qui sauvera sa tête bien faite : Eric Woerth, le trésorier de l’UMP, apprécié par le président pour sa discrétion et son sérieux. Sarkozy lui demande ainsi qu’à Valérie Hoffenberg, conseillère de Paris, membre éminent du club Génération France de Jean-François Copé et connue pour l’épaisseur de son carnet d’adresses, de réfléchir à l’organisation de réunions de riches donateurs, inspirées des charity diners américains, dans la perspective de sa campagne présidentielle. De ce premier rendez-vous naîtra le Premier Cercle. La structure, pilotée entièrement et exclusivement par Woerth, vit et prospère encore aujourd’hui « Il était important pour nous de diversifiér les sources de financement. Pour cela il fallait organiser les donateurs au sein d’une même structure » explique-t-il.

Au Bristol-réception financée par le parti, beaucoup attendent le président avec une impatience tout enfantine, maîtrisée en la circonstance. Et pour cause. Ils sont chefs d’entreprise, hommes d’affaires, avocats, médecins, pour certains multimillionnaires, toujours entre deux avions. Venus de New York, de Londres, de Madrid. Se côtoient Olivier et Laurent Dassault, Sydney Ohana, le chirurgien des stars. Aldo Cardoso, ancien PDG d’Andersen Woridwide ou encore Guillaume Dard PDG de Montpensier Finance. Ils ont en partie financé la campagne de 2007 et sont prêts à financer la campagne de 2012. »

Voila un système bien rodé, malheureusement il arrive parfois des dérapages, l’affaire Bettencourt en est un. Il faut maintenant assumer.

« Je veux une démocratie irréprochable, celle dans laquelle l’Etat est impartial. Si l’Etat veut être respecté, il doit être respectable. Je ne transigerai pas. Le fait du prince n’est pas compatible avec une République irréprochable. » Discours de Nicolas Sarkozy au Congrès de l’UMP le 14 janvier 2007.

B.S.

En 1982 François de Closets écrivait un bouquin intitulé « Toujours Plus ! » et préconisait qu’on modifie la devise de la République aux frontons de nos mairies par « Liberté, Inégalité, Féodalité ».

En 2010 cette crainte est fondée, cette appréhension réalisée. Nous avançons à contre sens de l’Histoire qui est toujours en progrès. Certainement pas sur le plan technique et scientifique ou tout est permis jusqu’à l’extrême. Mais sur le plan de l’humanisme où tout est fermé, verrouillé, sclérosé, en régression, dans l’impasse.

Mettre le centre de ses intérêts dans l’homme devrait être l’essentiel des préoccupations des gouvernants alors que c’est le cadet de leurs soucis. On a laissait libre cours à l’individualisme qui est devenu le centre d’intérêt du monde. L’individu a supplanté l’homme. Les anciens n’hésitaient pas à employer la formule « Le progrès tue l’humanité » c'est-à-dire l’ensemble des caractères par lesquels l’homme se distingue de l’animal ; et il se comporte en animal d’où l’expression « l’homme est un loup pour l’homme. »

131 SDF sont morts depuis le début janvier, trois lignes dans Ouest-France, ça se passe dans l’indifférence comme une lettre à la poste. C’est un fait divers, sans plus qui figure à la rubrique des chiens écrasés. Tout comme les quarante « suicidés » de France Télécom. Cela n’a pas l’impact et l’émotion que suscite la mort d’un militaire en Afghanistan ou d’un policier tué en service par un malfaiteur. Tous ces cas sont dramatiques, et, je me refuse à hiérarchiser l’horreur.

En 1935 Emmanuel Mounier écrivait « Le monde est en panne ; l’esprit peut seul remettre en marche la machine, il se trahit s’il s’en désintéresse » Aujourd’hui le monde est en rade.

Mounier philosophe engagé, d’inspiration chrétienne, dont on a commémoré discrètement le 60 ème anniversaire de sa mort, le 22 mars 2010, est l’initiateur d’un mouvement : le personnalisme, qui affirme le primat de la personne humaine et s’oppose radicalement à l’individualisme. Il en appelle à la transformation du milieu de vie et de nous-même. Sa visée est la création de l’homme nouveau par la révolution des rapports sociaux et de nous-même. Pour Mounier, l’économiste devrait se sentir concerné par la construction d’une demeure humaine et acquiescer à la formation de l’homme nouveau par tous les hommes.

Un ami breton, P.B. m’a initié à cette philosophie. Il m’écrivait 1962 « A chaque instant nous devons être disponible pour l’homme, tout l’homme, remuer ciel et terre dès que l’homme est en question……..nous devons être intransigeant pour nous-même, nous devons avoir une attitude personnaliste sur tous les fronts au risque de passer pour de « pauvres types » aujourd’hui il n’a pas changé et tient toujours le même discours. Les faits lui donnent raison.

Le personnalisme est né de la crise de 1929 qui a les mêmes causes et les mêmes conséquences que celle que nous vivons, et qu’en son temps Mounier dénonçait. Nous ferions bien de nous en inspirer pour donner un sens au sens. Sortir de ce monde absurde, de ce monde de brutes, où l’homme est sans repère et sans humanité. Travailler au rétablissement d’un humanisme conquérant pour une réelle fraternité entre les hommes. Refuser cet ersatz de société qu’on nous concocte dans les bas-fonds de la République.

 Arrête de jouer aux cons ! semble dire Sarko à Fillon.

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PAROLES D'EXPERTS !

J’écoutais de savants docteurs en économie dire que les Français étaient nuls en économie, pour justifier la politique gouvernementale, je leur signale que : Premièrement nous avons fait école, à voir tous les pays qui sont touchés par les mesures d’austérité.

Deuxièmement les Français ne sont pas si ignares que ça puisqu’ils sont compris, par Joseph Stiglitz prix Nobel d’économie, qui déclare que « l’Union court au désastre » si elle applique un plan coordonné d’austérité. Alors docteurs.

TRAVAILLER PLUS !

On demande aux Français de travailler plus et plus longtemps, alors que le volume de travail, diminue globalement, cela en raison des gains de productivité. Ne faudrait-il pas envisager de travailler autrement ? De travailler tous et moins longtemps ? Nos docteurs en économie n'ont pas envisagé pour l'instant cette thérapie.

B.S.